Biopop : la bio par le peuple, pour le peuple !


Dans un contexte de baisse constant de la qualité alimentaire, de dénaturation des produits, d'une disparition progressive des saveurs, sans même aborder la question des apports nutritionnels et organoleptiques des fruits et légumes sans cesse à la baisse, Biopop émerge et souhaite récréer, sur un territoire donné, à une échelle humaine, du sens, du goût et de la texture à nos assiettes. Mais cela n'aurait rien de nouveau ni d'audacieux si le projet avoué ne recelait l'envie, sinon l'espoir de permettre une diffusion réelle, concrète et pragmatique auprès du plus nombre de consommateurs. En gros, au delà des discours démagogiques voici enfin une vraie production biologique à la portée de tous... mais non sans un effort de chacun !

Des légumes bio et pas chers, certes, mais pas comme au supermarché.

Explication : pour permettre l'accès aux prix les plus bas il fallait évidemment réduire certains postes plutôt coûteux, ici, c'est donc celui de la distribution qui se trouve tronqué permettant une logistique plus vive, une dynamique simplifiée et donc des processus moins onéreux en matière de préparation de commandes. 

 

Mais alors qu'est ce que cela change pour moi ?

Eh bien, au quotidien cela signifie que pour acheter à un prix défiant toute concurrence le consommateur devra prendre des légumes en plus grosse quantité que dans une supérette classique. Autrement dit chez Biopop oubliez donc les portions de 250 grammes d'épinards et la pesée des trois carottes du pot au feu. Place à la vente, non pas en paniers, mais plutôt en caissette.

 

Mais quelle sera alors ma réduction ?

Le prix payé par le client sera, en fonction de la quantité achetée, le même que celui disponible au marché de gros. Celui que paient les revendeurs, c'est à dire les officines spécialisées, les grandes et moyennes surfaces...  En somme suivant le poids commandé le remise sera, par rapport au tarif moyen constaté en magasin spécialisés de l'ordre de 10 à 35% sur les produits de première catégorie qui sont ceux que l'ont retrouvent sur les étals des épiceries, puis de 40 à 60% pour la production destinée à la transformation (exemple tomate à coulis, légumes pour conserves) qui sont généralement des produits dont la saveur est intacte mais dont l'aspect n'est pas assez reluisant pour attirer le chaland. Ce sont néanmoins les préférés des traiteurs et autres restaurateurs car une fois dans l’assiette difficile de voir une quelconque différence.