Voici les principaux problèmes causés par la renouée du Japon (Fallopia japonica) :

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🌿 1. Impact écologique et perte de biodiversité

• Elle crée des colonies denses et monospécifiques, étouffant la végétation indigène et réduisant la diversité floristique ( lemonde.fr+14quebec.ca+14bede-asso.org+14). Disons qu'avec elle c'est quelque part, le retour à l'aire communiste, l'uniformisation généralisée, la même chose pour tous, ainsi pas de jaloux !

• Sa domination entraîne un déclin des invertébrés (–40 %) et une baisse de 20–30 % des groupes taxonomiques, perturbant les chaînes alimentaires (amphibiens, oiseaux, etc.) (fr.wikipedia.org). Bon, pour être franc, ici, nous nous méfions pas mal des données fournies par WIKIPEDIA, elles sont très probablement extrapolées. Cela étant, ce qui reste intéressant, c'est le fait qu'il y ait, mais tous ceux qui comprennent le fonctionnement de la plante peuvent s'en douter d'avance, un écrasement généralisé de la vie, orienté bien évidemment, en tout premier lieux vers les formes les plus fragiles.

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🏞 2. Érosion des sols et altération des milieux aquatiques

• Les rhizomes remplacent les racines entrelacées d’espèces indigènes, ce qui fragilise les berges de cours d’eau (rtbf.be+5le-semea.fr+5france3-regions.francetvinfo.fr+5). Contrairement au bambou d’ailleurs qui lui ne lâche rien. Par contre les deux plantes ont une réelle prédilection pour les rebords de rivières, d'étangs, un peu comme Robert Boulin, paix à son âme. 

• L’absence de protection au sol en hiver favorise l’effondrement de rives et l’érosion, car la plante meurt en automne (fr.wikipedia.org+15le-semea.fr+15rhizomex.com+15). Encore un soucis évité grâce à la superbe ténacité des bambous, eux au moins, hiver comme été restent fidèles au poste !

• Les tiges mortes peuvent obstruer les cours d’eau, augmentant les risques d’inondations (rhizomex.com+1pacte-climat.eu+1). Mais pire que cela c'est l'eutrophisation des points d'eaux en circuits fermés qui reste à redouter. Si jamais l'oxygène manque dû notamment à l'accroissement de la matière organique morte en décomposition et des processus nécessaires à leurs minéralisations, c'est un risque de mort immédiat pour l'énorme majorité des formes de vies aérobies du milieu. En bref, on transforme étang et lac où cohabitant poissons, plantes aquatiques, oiseaux et batraciens, en un très court laps de temps en une marie infestée de bactéries pathogènes, nauséabonde tant à l'aspect qu'à l'odeur, sinon carrément pestilentielle pour les formes de vies amies, et cerise sur le gâteau : gorgée de moustiques.

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🏚 3. Dommages aux infrastructures et immobilier

• Les rhizomes puissants pénètrent concrètement dans les fondations, pavés, murs ou canalisations, provoquant des fissures et des dégâts (pacte-climat.eu+1france3-regions.francetvinfo.fr+1). Là encore nos clients reconnaitront amplement les modes d'actions et de dissémination du bambous. Tous ceux qui ont eu affaire à l'entreprise WISS PAYSAGISTE pour annihilier des rhizomes traçants dans leurs jardins verront à quel point cela ressemble trait pour trait aux méthodes colonisatrices adoptées par les phyllostachys.

• Au Royaume‑Uni, 5 % des foyers sont concernés ; les coûts de réparation peuvent atteindre plusieurs milliers d’euros (france3-regions.francetvinfo.fr+15pacte-climat.eu+15fr.facts.net+15). Comme pour les bambous, plus on attend plus ça chiffre. Ensuite la seule solution : revendre la maison en passant par un agent immobilier assez corrompu pour cacher les dégâts !

• La présence de renouée peut dévaluer les biens immobiliers, voire bloquer la vente ou rendre les assurances mutuelles hésitantes afsq.org+2fr.facts.net+2pacte-climat.eu+2. Bon là dessus, pas mal de clients le savent déjà, c'est évidemment le cas de toutes les histoires liées aux bambous. Dans le cas des pestes végétales, il y a un petit coté punaise de lit...

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💰 4. Coûts économiques élevés

• La gestion et l’éradication demandent des interventions répétées (fauche, arrachage, bâchage, excavations), parfois sur plusieurs années, ce qui est onéreux rhizomex.com+3quebec.ca+3fr.facts.net+3. Evidemment, on a rien sans rien. Pour payer le fauteuil d'un goret à l'assemblée il faut en payer des heures de travail, et le plus vilain c'est qu'elles sont ultrataxées, tout ça parce que la vermine de l'hémicycle afin de faire grossier son derrière ça se nourrit de gibier, et le gibier, eh ben, c'est pas donné ! 

• L’intervention des collectivités, entreprises ou propriétaires est nécessaire, mobilisant des ressources importantes . Ou bon, on va relativiser, disons que bien souvent elles confient le chantier à des entreprises extérieures, dont vos humbles servants, car elles d'autres missions à gérer. On ne peut jamais tout faire en même temps, du moins sans délaisser certaines tâches, ce qui n'est que difficilement acceptable aux yeux de la population, dont le droit de vote saura sanctionner les négligences (enfin dans les petites communes, les grandes c'est quand même moins vrai).

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🛣 5. Risques pour la sécurité routière et ferroviaire

• La renouée se développe dans les talus, même très pentus, bords de route ou voies ferrées, obstruant ainsi la visibilité afsq.org+2rhizomex.com+2fr.wikipedia.org+2. In fine c'est peut être la pire chose, mais c'est tellement vrai avec tous les autres végétaux capable d'attendre deux mètres, que cela reste d'une triste banalité. Cependant qu'elle horreur de prendre un accident à cause d'un couvert végétal cachant un panneau ou un virage...

• L’infiltration dans les infrastructures routières ou les canalisations peut provoquer des retards et nuisances à la circulation. Notamment lorsque des points d'évacuation d'eau se trouvent bloqués et entrainent des débordements sur les chaussées carrossables, rendant les routes glissantes et donc accidentogènes.

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🔄 Pourquoi elle se répand si efficacement

• Croissance rapide et capacité à se régénérer à partir des moindres fragments de rhizomes ou tiges pacte-climat.eu+15le-semea.fr+15wilsoncontrol.com+15. Encore un point qui rappelle pas mal notre ami le bambou.

• Production de toxines allélopathiques dans le sol, inhibant la croissance des autres plantes wilsoncontrol.com+2le-semea.fr+2bede-asso.org+2. C'est une technique utilisée par d'autres végétaux et visiblement ça marche à tous les coups. C'est un peu la politique de la terre brulée puis colonisée.

• Dispersée extrêmement facilement par les crues, sols contaminés, machinerie, travaux publics, etc. pacte-climat.eu+12quebec.ca+12fr.wikipedia.org+12. D'où les difficultés à endiguer le phénomène, notamment pour causes de continuité des mauvaises pratiques.

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📋 En résumé