Iesus Rex Salvator, depuis avant le début du monde et pour l'éternité !

Avertissement : le texte qui suit provient de notre cerveau malade, animé par une haine terrible, fracassante, fracassée, vivace, active, Impitoyable, à la Clint Eastwood. Il manque donc, sur la forme, d'un peu de charité chrétienne. Aussi nous efforçons nous, de temps à autre, on ne dira pas jour après jour se serait mentir, de comprendre les mots de notre Maitre le Christ :

''aimez vous les uns les autres, comme je vous ai aimés", Jean 13, 33-35.

Cela étant nous pataugeons depuis longtemps maintenant inextricablement dans notre propre fange mentale, tentant de comprendre la question fondamentale d'Ivan Fiodorovitch Karamazov, eh oui, toujours lui, sur la question du bien et du mal : doit on laisser le mal l'emporter, doit-on comme le Christ accepter la mort, au risque qu'elle emporte fatalement les enfants, créatures, par essence, pures ? 

La question à du sens, et prend toute son importance face, par exemple à l’appétit féroce, sinon dévastateur de l’ogre du sénat, gégé le bien nommé. Car avec lui plus rien pour les petiots, c'est clair qu'il va vider les greniers. Il a un postérieur à entretenir le sacré ursidé, et pas des moindres le derrière. Bref, quelque part, on est perdu, il nous faut bien l'avouer. Gégé contre les bébés, qui doit-on prioriser ? Bon, le gouvernement, visiblement à fait son choix, se sera la gloutonnerie qui vaincra. Mais moralement, nous voulons dire, chrétiennement, ça c'est une notion que nos dirigeants n’intègrent pas, qui doit in fine l'emporter ? Faut-il dans une perspective christique, nous voulons dire non violente jusqu'au martyr, continuer jusqu'à la parousie le sacrifice des innocents ?

Pardonner n'est pas si compliqué, si on aime le Christ, on aimera à son image, à son imitation, pour reprendre Kempis, ouvrir son cœur et y retirer la rancœur, y compris contre des créatures aussi viles que gégé le plantigrade amateur de bonne chair. Mais que valent les vies de tous les enfants sacrifiés au nom de la voracité ?

Ainsi, le texte ne prétend pas apporter de réponse, mais se veut seulement une piste de réflexion, un appel à ne pas se laisser étourdir, y compris par un amour stoïque et contemplatif de notre Seigneur. Du moins pas temps que nous sachions si oui ou non, en tant que croyants, contrarier le mal, et donc les vils appétits du vilain gégé sont ou non de notre fonction. Avons nous des devoirs envers les faibles ?

 

Juillet 2025, dans une chambre étudiante, presque immergée dans notre folie, mais pas encore complètement.

 

Très sincèrement, le titre se passerait bien de tout commentaire, forcement avilissant. Mais comme on est reconnaissant et que Dieu aime que l'on prenne un peu de temps pour se rappeler ses bienfaits, autant nous remémorer ici ensemble sa Grandeur.

 

Avec Jésus, on avait du Saint-Louis, et ça c'est pas rien, notamment à l’époque de la romance de grand écart entre le vieux Jean Mich et le jeune Manu. On est, qu'on le veuille ou non, et même avec une grosse dose de tolérance, dans un scénario digne des films d'horreur de série B.

 

Il est certain, nous ne les idéalisons pas, que les rois avaient leurs travers, et pas que des petits, nous le savons tous, la fornication étant certainement le plus connu. Ce qui est loin d'être joli-joli.

Toutefois, il y avait le sens du sacré, au moins dans l'imagerie, au sens nous voudrions dire de l'espace sacré, de sa représentation métaphysique à travers les lieux. A moins de connaître personnellement le roi, les cardinaux ou quelque prélat, la relation à l'identité populaire restait préservée, les valeurs partagées, le sens moral commun. Pour deviner les pêchés encore fallait il tremper dans l'intimité. L’apposition des mains royales et les processus thaumaturgiques qui leur sont corrélés montrent parfaitement la hiérophanie vivante de cet univers.

 

Aujourd'hui on a le gros gégé, le sanglier sénateu, qui se commande pour son gros cul un fauteuil à des dizaines de milliers de sesterces, après avoir dévoré des gueuletons de gibier filmé par un merdia télévisuel, à la vue et donc au su de tous, et rien, pas même un blâme de la kommandantur pour juger cela malsain. Les pauvres y auront qu'à chialer ou saliver, c'est selon les préférences de chacun.

 

Non, non, non, va falloir ressusciter Louis XVI, c'est un saint-martyr lorsque l'on voit le cochon du sénat trôner fièrement loin de tout remord, crachant sa bave au visage de tous les prolétaires français. La démocratie, représentative, comme on le voit, c'est juste bon pour les cochons !

 

Christus Rex, comme aurait pu le dire Girard, car il n'y a finalement que le Christ qui puisse nous sauver, c'est lui qui anéantit la violence, et quelque part en stoppant l'iniquité met le goret au régime (pour le plus grand bien des travailleurs français et de l'ensemble des membres de leurs familles, y compris leurs maigres animaux de compagnie), rétablissant ordre et respect sur terre, car seule l'exemplarité pousse à la considération envers les dirigeants.

 

Pour le moment, nombreux sont ceux qui ne ''respectent'' que par crainte. C'est pour les survivants, les éveillés - mais le mot est prétentieux, nous pourrions alors, à l'instar des parias de l'Empire galactique reprendre à notre usage le terme rebelle, que leur assigne de façon à les dénigrer les méchants de la trilogie - l'obligation de survie dans un univers digne de la France de Bernanos, celle qui se bat contre les robots, les machines automatiques à tirer les PV, les systèmes tout informatisés, tout ce qui brille par une absence totale d'âme. Exactement d'ailleurs à l'image de la vermine qui nous dirige. Bon après il faut se rappeler qu'on a souvent ce que l'on mérite, il suffit de voir le nombre d'abonnements netflix (et encore c'est pas ce qu'il y a de pire) pour savoir que les sacripants au sommet de la pyramide ont de beaux jours devant eux : panem et circenses et tout va pour le mieux !

 

Hors que voulons nous, nous humains, nous êtres transcendants, si ce n'est en vérité que le fana soufi, la déliquescence matérielle pour pénétrer vivement, et au plus vite, les éternités immatérielles ?

 

Jésus, par la bonne nouvelle qu'il dispense au travers du regard des nombreux témoins qui ont eu l'honneur de croiser sa route, nous offre une vision pieuse, valorisante et ouverte sur l'avenir de ce que peut être la vie. Comme Paul Miki, soyons heureux et fiers que le Christ, Roi des hommes, ait daigné poser sur nous son regard sauveur.

 

In Christo Salus.

 

PS/ Cela pourrait être développé ici, et le sera peut être plus tard, mais y compris et surtout via notre choix d'adopter le Christ en tant que modèle de vie et de pensée. Nous songeons que les traditions de l'islam et de l'hindouisme trouvent parfaitement leurs places dans ce même tourbillon vertueux.

NB/ Si quelque professeur de théologie ou de philosophie possède des pistes de réflexions sur le comportement à adopter face au caractère délétère des carnivores du type gégélien, nous sommes preneur et promettons de publier le texte sur le présent site. Nous en profitons pour saluer humblement et bien bas le travail exceptionnel d'analyse sociétale, mené par le philosophe Francis Cousin accompagné de ses brillants collaborateurs, tous grands érudits de la pensée de Marx et de Guy Debord, deux intemporels génies, pour qui nous possédons le plus grand des respects. 

 

Merci à tous les lecteurs qui auront eu la patience d'arriver jusque là, et bien entendu, si vous souhaitez poster un commentaire, la rubrique de contact, via le livre d'or est là pour cela.